Le rôle du CGP est de se maintenir informé en permanence de l’évolution de chaque spécificité pour chaque produit de manière à produire un conseil avisé et expert à son client en tenant compte de ses projets de vie.
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Derrière cet objectif, commun à tous, se cachent de nombreuses subtilités sans lesquelles nous ne pourrions apporter des éléments de réponses pertinents.
Le temps ! Oui, le point d’exclamation est volontairement utilisé. A moins de faire du trading son métier, l’amélioration du rendement de son épargne doit se penser avec un horizon d’investissement cohérent. Ici, nous préférons mettre directement les pieds dans les plats : en dessous de trois ans, il sera difficile, pour ne pas dire impossible, à tout gestionnaire de patrimoine de définir avec vous une stratégie de placements.
Le risque ! Il n’a pas besoin d’être très important pour aller chercher un rendement honorable. Néanmoins, si vous pensez que plus de 5% / an est possible sans une prise de risque, alors tout conseiller en investissement financier vous décevra par sa réponse. Les livrets bancaires et fonds euros sont les uniques placements où votre capital est garanti ; excepté en cas de faillite de la banque ou de l’assureur.
Le temps et le risque sont le premier duo à considérer pour évaluer quelle amélioration du rendement de votre épargne vous pouvez espérer.
Les objectifs ! Revenus complémentaires, capitalisation, préparation de la retraite, protection de sa famille ?
Ils viennent après avoir évalué le temps et le risque et sont la direction vers laquelle votre gestionnaire de patrimoine doit aller.
Améliorer le rendement de son épargne pour améliorer le rendement de son épargne n’a absolument aucun sens.
Cette visée doit venir s’inscrire pour la réalisation, à terme, d’objectifs concrets : les études à financer des enfants, l’achat d’un bien immobilier, la transmission d’un capital, la sécurisation des avoirs obtenus au cours de sa carrière professionnelle ; tant de raisons venant justifier la stratégie patrimoniale à définir et à instaurer.
Disons plutôt que c’est ici que tout commence avec la quatrième notion à prendre en compte : le suivi.
Toute stratégie patrimoniale ne doit pas être figée ; bien au contraire. Elle doit pouvoir inclure des arbitrages à opérer aux moments opportuns en fonction des changements de paradigmes économiques et, laisser une largesse, pour un resserrement des attentes visées à terme.
Ce n’est qu’au travers d’un échange, sincère et constructif, avec son gestionnaire de patrimoine que l’amélioration de son épargne sera possible avec, au minimum, un point annuel et une réactivité de chaque instant : le suivi sera donc la pierre angulaire du succès de la stratégie patrimoniale définie.
Suivre peut s’apparenter à simplement observer et ceci n’est pas suffisant. Le gestionnaire de patrimoine doit accompagner ses clients sur la durée c’est-à-dire savoir réorienter la stratégie si celle-ci n’est plus en adéquation avec l’environnement macro et micro-économique. Nous pensons que cette cinquième notion permet aux quatre précédentes de réaliser les attentes qui ont été fixées.
Ainsi, si le temps est la première approche, l’accompagnement devra, quant à lui, s’appuyer sur la durée pour que le risque, les objectifs et le suivi forment le trio gagnant à l’amélioration du rendement de son épargne.
Le rôle du CGP est de se maintenir informé en permanence de l’évolution de chaque spécificité pour chaque produit de manière à produire un conseil avisé et expert à son client en tenant compte de ses projets de vie.
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